J'aime passionnément la nature et particulièrement la faune sauvage que je piste et étudie depuis ma plus petite enfance.
Un peu cueilleur, un peu pêcheur ou chasseur j'aime vivre dehors et explorer les contrées sauvages de notre Terre.
Mais ce qui me donne le plus de plaisir et me donne aussi l'impression d'être utile c'est la quête, la récolte, l'observation, l'étude et l'interprétation des traces multiples laissées par la faune mais aussi l'Homme et les éléments naturels (eau, vent, feu ...).
La concrétisation économique de la commercialisation de "ma" GEORGETTE - qui existe aussi grâce à mon épouse et ceux qui ont osé croire à cette "utopie" - est avant tout l'outil, certes innovant ou utile mais qui a le mérite d'accompagner notre projet scientifique et éducatif lié à l'ichnologie, cette science pluridisciplinaire de l'étude des traces.
Ce que nous savons des origines de la vie sur Terre, nous le savons beaucoup par notre capacité à interpréter les fossiles et traces fossiles qui ont survécu au temps. Ni l'écriture, ni l'image ou la mémoire collective ne nous aident pour comprendre l'histoire des espèces. Plus proche de Darwin que des créationnistes, je souhaite mettre toute mon énergie vitale dans un projet lié aux sciences partagées par la création d'une école d'ichnologie appliquée et d'un conservatoire international des traces. Je suis encouragé pour cela par le soutien magnifique d'Yves Coppens et d'une communauté pluridisciplinaire.
Ancien mauvais élève, j'aime pourtant apprendre mais surtout pas à l'école qui m'a obligé à rester assis pour étudier, n'a cessé de me dévaloriser pour faire en sorte que je ressemble aux autres. Suivre son chemin c'est développer des aptitudes spécifiques liées aux plaisirs d'apprendre et d'expérimenter.
La nature bien observée suggère et suggérera encore de nombreuses "créations" humaines. La GEORGETTE, avant de devenir un couvert contemporain ou un nouvel outil, existe déjà dans nos mains quand on colle le pouce à l'index et qu'on replie un peu les phalanges ou sur la patte de l'ours, ou celle de la taupe, ou d'une courtilière.
Le plus grand défi de notre espèce aujourd'hui est d'inventer l'art de la cohabitation avec la nature dont on est issu.
Nous devons nous efforcer de changer de paradigme, œuvrer pour transformer notre société de consommation en société plus respectueuse de l'environnement dans un esprit de coexistence avec toutes les autres espèces.
MamsCook
Passionnée de cuisine depuis toujours, après de nombreuses années de pratique, de cours de cuisine, de rencontres, j’ai décidé de créer un blog de cuisine pour transmettre ma passion. Pour moi, la cuisine, c’est le partage, la convivialité, la joie de se retrouver autour d’une table et de faire plaisir, c’est respecter les produits, les saisons…
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